C’est à travers une démarche de redécouverte de soi et de dévoilement de sa conscience, d’entraînement et d’intégration que les techniques sophrologiques vont permettre de mobiliser ses capacités de bien-être, d’adaptation et d’évolution.
Même s’il est nécessaire de savoir se détendre, la relaxation n’est pas une fin en soi en sophrologie. Nous pourrions dire que la sophrologie débute là où la relaxation s’arrête et que la relaxation est une étape pour mobiliser les structures de l’être.
Il n’y a aucune suggestion inductive de la part d’un sophrologue, la sophrologie développe au contraire l’autonomie et la participation active. Les images mentales ne sont nullement activées.
Oui, le corps occupe une place centrale dans la démarche, mais contrairement au yoga, la sophrologie s’intègre dans la vie quotidienne et s’adapte à toutes les situations.
La sophrologie développe la connaissance de soi et les capacités d’adaptation, il ne s’agit nullement de voir la vie en rose ou de s’auto-suggérer que tout va bien ou mieux.
Le “sans jugement ni à priori” est constamment abordé, afin de solliciter au mieux ses potentiels dans n’importe quelle situation de la vie.
Ni au niveau des techniques qui s’appuient sur la recherche scientifique élaborée sur plusieurs décennies, ni dans la pratique qui est un entraînement volontaire et méthodique pour dévoiler la conscience sur le principe de la répétition. (source : formation de sophrologie caycédienne, ESOCAY PARIS)